C’est fou comment on s’habitue rapidement.
Comment l’esprit se conditionne facilement.
Une situation qui n’était jamais arrivée, qui m’avait effleuré parfois l’esprit, qui m’était inconnue meuble maintenant mon quotidien.
Et maintenant que j’y ai goûtée, plus rien à faire.
J’en perds mes mots, comment c’est beau.
J’ai beau chercher une métaphore, une comparaison absurde, n’importe quoi pour dire
ce que je ressens, mais je ne trouve pas.
C’est juste ça.
C’est juste toi et moi, qui dorment enlacés, alors que les minutes filent et s'échappent.
L’aisance, ça se développe.
*
Est-ce que la poussière aime l'objet qu'elle recouvre?
Est-ce que cet objet s'en sert comme d'une couverture?
Pourquoi les séparer?
*
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Mon esprit s'est effectivement conditionné à t'aimé.
RépondreSupprimerPlus rien à faire, je suis condamné à te coller.
Nous séparer? Qui donc a parlé de cette absurdité?
j'espere que tu ne te compare pas a un grain de poussiere ou a un objet chère Amé :P
RépondreSupprimerC'est fou comme tu arrives à trouver les bonnes images pour t'exprimer! La preuve c'est que tu as choisi la poussière.. As-tu remarquer que quelques jours après ton super ménage il y a à nouveau une couche de poussière un peu partout.. On a beau la faire disparaitre, elle ne disparait jamais pour bien bien longtemps! Mais bon assez parler ménage, on a tous compris de qui tu parlais en réalité et je trouve ca génial de voir qu'il t'inspire comme ca ! (L) xxxx
RépondreSupprimer