lundi 2 août 2010

Jorja Bleu, fille de Bret.

J’ai fait un drôle de rêve l’autre nuit. Un rêve qui me trotte dans la tête encore.


Mon subconscient doit prendre de l’acide, ou être particulièrement torturé, parce que c’était assez étrange.


J’ai rêvé que j’étais en moto, avec Bret Michaels. Il m’offrait un immense bracelet chic en ferraille, du genre qui fait tout le bras, qui enveloppe du poignet au coude dans une grande classe. Bleu. Tout sur ce bijou était bleu, des perles au fil de fer qui reliait le tout. Même le petit fermoir délicat était bleu.


Mais en plus, oui, il y a plus, le bracelet était muni d’un système chauffant. Je ne me souviens que de quelques bribes de mon rêve, mais je vois encore Bret michaels m’offrir l’objet, à moto. Moi qui l’enfile (le bracelet). Lui qui me montre la petite télécommande du système chauffant. Qui l’active. J’avais le poignet, et tout l’avant bras, soyons francs, en feu. Je sentais la chaleur irradier jusqu’à mes os.


Et moi de tomber en pamoison devant un immense bracelet bleu chauffant offert par Bret Michaels.

J’étais tellement contente, que je le serrais fort. De dos. Lui qui conduisait une moto rutilante. Et lui de se retourner, et de me serrer. Et de m’embrasser.

Personne ne semblait concerné du fait que la moto roulait toute seule, sans conducteur.

C’est ça, la magie des rêves.


Mais le bracelet. C’était si joli. Digne de Cléopâtre Michaels. Des centaines de perles de tous les tons imaginables de bleu, du azur au ciel, et de la mer des tropiques au bleu windows, un tout aveuglément bleu. Des multiples rangées de fil de fer qui recouvraient tout mon avant-bras. J’étais si heureuse.

En plus, mais je ne suis pas totalement certaine, je crois que je participais à Rock of Love et que toutes les autres candidates étaient naines, myope, cul-de-jatte, et éclopées dans ce genre-là.


Bret m’embrassait, avec un accent anglophone. La moto roulait à toute vitesse, ses cheveux blonds, pas tout à fait à lui, qui volaient dans le vent, qui me fouettaient le cou. La chaleur du bracelet bleu qui me chauffait, puissance maximale. Presque trop.

Ç’en était presque douloureux. La chaleur sur mon bras se transformait presqu’en électricité qui brûlait mes os.

Et là, Je me suis réveillée.

J’avais le bras coincée, tout plié, sous mon oreiller. Mon poignet était dans une drôle de posture, et j’avais mal.
Depuis, j’ai une tendinite.


J’écrirais bien sur Facebook que Bret Michaels me donne des tendinites, mais les mauvaises blagues seraient bien trop à portée de main.

1 commentaire:

  1. Si on oubli la tendinite, c'est le genre de rêve fou que j'adore, et dont je n'aime pas me reveiller... bien sur les miens contiennent légèrement plus de demoiselles en détresse, d'action, et d'aventure (exemple: Indiana Daniel)

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